Dereck Felh "Hamdall" [validé]

Nom : Felh
Prénom : Dereck
Nom Garou : Hamdall le Défenseur
Lignée : Homidé(e)
Âge : 16
Tribu : Fils de Fenris
Auspice : Ragabash
Totem personnel : Ours


Meute : Meute de la Main de Conrad
Totem de la meute :

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Attaque : 3
Défense : 1.5
Agilité : 2
Santé : 0.5

Attributs :
-Force :
-Dextérité :
-Vigueur :

Compétences :
- Hache
- Marchandage
- Médecine
- Bagarre
- Résistance au poison

Dons :
- L'Union fait la Force

Equipement :
- Veste de toile (DEF +1)
-
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Description physique :
Comme la majorité des Garou de sa lignée, Dereck atteint une taille étonnante dans chacune de ses formes malgré son jeune âge. Alors qu’il as seulement quatorze ans en homidé il culmine à près d’un mètre quatrevingt onze mais malgré cela il reste de carrure moyenne par rapport à ceux qu’on pourrais attendre. Les proportions de son corps sont celle d’un sportif se taillant plus dans l’endurance que dans la force brute.
Ses cheveux d’un châtain pâle rappelle les couleurs de la forêt noire lorsque l’automne laisse presque place à l’hiver la recouvrant d’un linceul de carmins, à l’opposé son visage mat révèle une personne qui préfère vivre à l’extérieur que cloîtrer entre quatre murs.
Que se soit en lupus ou hispo son pelage est grisonnant avec quelques éclaircissement blanc au niveau des pattes et des oreilles. Lorsqu’il passe du glabro au crinos son pelage est également gris alors que ses avants bras tendent à atteindre une couleur blanche immaculée.


Caractère :
Tout dans le caractère de Dereck le pousse à agir avant de réfléchir aux conséquences de ses actes, cela peut amener de bons résultats comme des mauvais mais cela n’a pas vraiment d’importances pour le jeune homme, agir d’instinct en faisant de son mieux lui suffit amplement. Parfois cela cause des dommages que contrairement à l’habitude de ceux de sa tribu il cherchera à réparer. Très tôt il senti la douleur de Gaïa alors qu’il parcourait souvent les sentiers de la forêt noire près de Fribourg-en-Brisgau, cela lui causait de grande tristesse de voir l’état dans lequel la nature se trouvais dégradée par la main des agents de la Tisseuse comme ceux du ver, mais par dessus cette mélancolie une colère profonde et irraisonnée gronde au fond de lui, un besoin de faire du mal à ceux qui blesse Gaïa.
Dereck est expansif lorsqu’il agit mais saura se montrer discret jusqu’au moment ou il sent qu’il doit laisser parler ses émotions. Chaque personne rencontrée doit être tester et passer par son jugement, ainsi il agiras selon son propre code de valeur.



Histoire :
Né le 17 novembre 1990 à Fribourg-en-Brisgau en Allemagne, Dereck vécu la bas jusqu'à l’âge de 8 ans, avant de déménager en France suite au rapatriement en France de son père Militaire de carrière. C’est ainsi qu’il se retrouva locataire à la caserne de Reuilly ou se trouve le centre de Tri postal de l’armée ( là ou passe tout courrier /colis portant la mention « armée » ).
La mère de Dereck faisait parti des Sapeurs Pompiers Volontaire de la forêt noire, cela lui donnait l’occasion d’emmener souvent son jeune fils en forêt, là il appris comment survivre dans les bois, se nourrir de fruit ou de petit gibier, un vrai petit campeur en herbe, mais les abords de la forêt étaient sales… détritus divers, pollutions, abattage d’arbre illégal, les bois sentaient la tristesse si près du monde de la tisseuse… Mais plus il s’enfonçait plus le jeune Dereck se sentait en paix dans ses bois, une fois alors qu’il devais avoir sept an il approcha d’une faille à flanc d’un pic rocheux, la caverne qui plongeait vers le bas était vraiment très sombre, mais il entra chaque pas l’éloignait de la lumière, du son, de la sensation d’être vivant, les contours de la caverne se délimitait à peine dans l’esprit du jeune garçon. Le sol irrégulier le laissait trébucher à chaque pas, il tombât s’écorchant les genoux rallant contre l’absence de la vue… un craquement… On aurait dit que la paroi se déformait plus par impressions et sensation que par une vue absente, une caresse. Le garçon tendit la main pour rencontrer une fourrure chaude et réconfortante, une forme massive immobile devant lui, aucun grognement, pas un bruit. Une patte glissa sur les jambes de Dereck pour ne laisser qu’une absence totale d’écorchure.
- Qui est tu ?
La voix du garçon raisonna un long moment avant de s’éteindre mais aucune réponse ne se présenta, et la présence chaleureuse avait disparut. Il fit demi-tour remontant vers la forêt et sa mère qui devais l’attendre, sa mère qui ne le grondait jamais quand il s’aventurait en forêt. Les sensations de son, la lumière tout revint quand il émergeât au soleil sa mère l’attendant assise en tailleur près de l’entrée de la faille.
- Maman ? Il y avait pas de lumière est…
- Ca s’appelle le goulet.
- Mais …
- Il faut rentrer maintenant.
- Mais…
- Il n’y as pas de discussion Dereck Felh, on rentre à la maison.

Un an après le départ pour la France avec son père tandis que sa mère restait à protéger leur très chère forêt noire.

Le garçonnet devint jeune homme dans la cité Parisienne, élever par un père strict et au exigence d’hygiène physique et mentale des plus élevé. Lever tôt, faire un footing, petit déjeuner puis aller à l’école, retour de l’école, devoir puis sport, repas du soir et coucher tôt. Une vie saine mais laissant peu de place à l’extravagance.
Alors que Dereck maintenant âgé de seize ans réalisé son footing quotidien dans les bois de Vincennes, il croisa un groupe de jeunes qui jetaient leur détritus de restauration rapide dans le plan d’eau à l’Est du bois.
- Il y as des poubelles à vingt mètres derrières vous.
Le groupe dont le plus jeunes devais bien avoir quatre ou cinq ans de plus que Dereck ne réagit pas aux paroles du jeune homme. Ainsi il se rapprocha et répéta d’un ton sec.
- Hey le groupe de guenons j’vous dit qu’il y as une poubelle derrière vous.
- Ta vu comment il te cause ? j’serai toi j‘lui mettrait dans la bouche tes restes d’emballage, rétorqua le plus proche.
Celui qui était au milieu du groupe se leva et approcha de Dereck les mains dans les poches.
- Tu veut m’apprendre l’écologie ? Rien a foutre va les repêcher et jette les toi même sale bâtard de merde.
- Dommage.
Dereck propulsa littéralement à l’eau celui qui l‘avait interpeller, tandis que dans le groupe les réactions étaient mitigé, un éclata carrément de rire alors que les autres faisaient plutôt la gueule. Celui à l’eau remonta et sorti rapidement un couteau de sa veste.
- Tu sait, il sait nuit il est tard, ton footing va te coûter cher.
Dereck senti le couteau lui déchirer le tee-shirt, entamer sa chair, glisser sur une côte et se détacher de lui, tout se passa très vite ensuite deux autres le saisirent par les bras tandis que le premier promenait sa lame devant le visage de l’adolescent dont les cheveux commencèrent à frémir. Des insultes fusèrent, d’autre coupure faite juste avant d’un hurlement inhumain sorti de la gorge de Dereck, qu’un craquement horrible éclata dans sa poitrine la faisant quadruplé de volume avant que les membres ne suivent les même proportion. Une bête de près de trois mètres jeta d’un réflexe ce qui lui accrochait les bras vers le plan d’eau, et que la face d’ahuri en face de lui fut réduit à l’état de pulpe visqueuse par deux poing arrivant simultanément de chaque côté de sa tête.
Une longue course dans la ville, des lumières dansante, des cris, eviter la lumière, moins de cri, maison… la maison… rien d’autre…